Ivan, je porte ton heritage et continue ton oeuvre de realite virtuelle dans les meandres du cerveau. j'espere te faire honneur. Merci de m'accompagner encore aujourd'hui...

la noche es mia aunque quiera el dia
Aunque quiera el dia la noche nos quiere

tan poca era mi memoria
que solo me acordaba de ti

ça manque lourd. Ma coupine russe m'a dit qu'il fallait mettre une bougie à l'église (ben hui!) et te laisser partir. Suivi son doux conseil sans se poser de questions (apparement, les russes sont hyper susceptibles ôô ) dans la petite église des Beaux. (cette église microscopique est une grotte en fait ! lieu parfait ) N'empêches, tu es Inouïbliable

Activation Barbeuk au Bain des Dames, avenue Poséïdon at Marseille..ay ay ay !

tendress again

tendress

to way to mosquee Hassan machin bidule à Casa

Ze grand MAster m'a envoyé un message to U (que je traduis au mieux, beaucoup d'interferences): "Pensées de l'XXXXX_space, chchcchchcchch....Gaz à tous les étages.....ça manque un peu de Grappa (prière de penser en ramenez. Si défaut, du Garlaban ça ira). Sinon, Besos à tous les Chabalinxs du monde entier....chchchcchrrrrzssss...Avec Marcel ça va, ça rigole bien...xxxsrrrsttt mais a peiné avec le code au début

Salut !

ze me suis trompée; je remets encore une couche !

@ l'Estak

dans la lumière de l'Estaque

le streaming marche toujours - Ivan est encore parmi nous - "L'histoire qui fait fabriquer une présence dès lors ne relate pas l'événement, elle est elle-même événement. On vit cette présence, on la revit, c'est-à-dire également, on la revivifie. Raconter ce type d'histoires relève des arts de l'expérimentation."

J'ai rencontré Ivan au milieu des années 90 au CICV, et on est devnu potes tout de suite, potes à découvrir et réver des technologies utopiques ensemble, puis pote dans une attitude politique d'anarchie douce et artistique. On s'est revu souvent ensuite au cours de multiples événements, Salut mon pote, ton rire me manque !

Je me barre d'Europe quelques années et voilà que tu en profites pour t'éclipser, chenapan, quelques jours avant mon arrivée. Et moi qui me demandais pourquoi tu ne répondais plus au mail. L'idée de la mort comme alibi ne m'a jamais effleuré--n'es-tu pas immortel, Ivan?

Et voilà, sur le chemin du retour, en route vers une ville que je ne veux pas voir, pour parler à des gens flottants qui 20 ans après se posent toujours les questions que nous élucidions nuit après nuit entre une bonne boutanche et un pèt' pour tousser entre les réflexions lumineuses de nos inspirations prophétiques.

Et voilà, j'évite la ville honnie à la minute près et me réfugie chez une amie commune à Bruxelles. Alors que nos pas nous mènent à la gare qui me renvoie vers le Sud, j'évoque ce souvenir des baleines à Québec, que tu étais allé voir sans moi car j'avais trop traîné. Je lui demande : as-tu des nouvelles de Chabanaud ? Elle me regarde, les yeux écarquillés : tu ne sais pas ?

Aucune émotion, aucune angoisse, aucun noeud dans la gorge, pas une larme ne m'assaillent, ni même la compréhension. C'est à présent que je t'écris, à toi ou plutôt à celles et ceux qui te gardent en mémoire, que la déchirure me prend.

Pourtant c'est bien difficile : ne nous sommes nous pas toujours quittés avec la certitude que nous allions nous revoir, et des embrassades qui disaient "mon pote, tu me manques déjà". Je ne saurais compter les années qui me restent à penser "mon pote, tu me manques encore".

On se souvient de rires, d'éclats de rire, même en production, alors que tout le monde est tendue comme un tambour, la nonchalance du Chabanaud frise la désinvolture du magicien qui sait tourner l'absence en abondance d'un clignement d'oeil.

Il suffisait de suivre ton regard pour trouver du sens. Tu jouissais de faire découvrir à autrui la source de l'émerveillement, un sentiment que tu connaissais bien mais que tu préférais voir s'exprimer dans d'autres visages.

C'est cette douloureuse paix que je lis dans ces multiples portraits : la paix de cette certitude qui accompagne la résolution d'un chemin à suivre, ou d'une piste à tracer. Un rire un instant, puis plus rien, que le regard perdu au-delà de l'horizon, guettant la voile que rejoignait tantôt les ailes aventureuses d'un goéland posé avec légèreté sur le mistral. Elle serait blanche, et elle apparaîtrait bientôt...

il y a des lieux où l'on sème des pétales de fleurs pour que dure la présence. chacun ses chrysanthèmes.y a des pixels, du flux, du toi Ivan, ici il , et beaucoup de tes amis.

Et voilà, tu es ici aussi avec nous... Rochefourchat, le 19/09/15.

au revoir
à bientôt

IKR

Ville Franche Nissa

Ivan on garde ton sourire, your smile forever !

Pour votre jardin digital

tu avais beaucoup aime ces montagnes taoistes
un moment de partages que j'aurais tellement voulu prolonger

I am sorry you are gone. Thanks for being. Rest in peace. X

Ivan ! Ivan !! que de souvenirs avec toi, Marseille, Paris, Désert numérique, angoulême, Carthage......... coordonnées transitoires, nos vies, tu auras été un repère, une joie à chaque moment passé ensemble, un rire aussi fort, venant de toute la vie qui était en toi, et qui jaillissait à chacune de tes idées... dur ... très dure semaine à repenser à tous ces moments, à tous nos amis, à tous ceux que tu m'as fait rencontrer tellement tu étais généreux et croyais en la communauté des amis.... Que nos mots t'accompagnent vers ce cosmos dans lequel maintenant tu es reparti. L'univers j'en suis sûr s'en trouve un peu plus intelligent de ta venue. LOVE

Tu imagen. Mis palabras. Como siempre fue, será. Eternamente.
Julián

Désert numérique

Désert numérique

Et te voilà sacré Ivan, lors du festival des Instants Videos à Marseille, montant ton motel numérique qui a été l'une de tes belles inventions, à l'image de ce que tu étais, ouvert aux autres, généreux, captant les énergies, partageant les flux, créant de réelles connexions, humaines et pleines de vie .... merci de nous avoir accueilli dans cette mosaïque aux fenêtres multiples, d'avoir été l'architecte génial de tant de croisements, merci d'être venu à Databaz au milieu des poètes et des performeurs (souvenir d'un chouette déjeuner dans le jardin au soleil entre huitres et encornets, à discuter de recettes de cuisine avec l'ami Jean), merci de nous avoir emmené un soir à Marseille dans ta vieille bagnole manger un poulet dans un restau de poulet improbable, merci pour cette douce après-midi à l'Estaque à manger et boire en parlant d'art et de peinture, merci de nous avoir fait partagé tes amis, tes idées dingues, tes bidouilles géniales, je suis heureuse de t'avoir connu, et je suis sûre que là où tu vas partir, dans les flux de la Méditerranée et de nos mémoires, tu nous irrigueras toujours ...

Prost, Ivan!

On est ensemble! :)

Une tempête de ciel bleu pour te dire au revoir cher Ivan ...

* * *

Salut Ivan, tu ne voulais pas que je pleure, mais ça ne fontionne pas. Mes larmes sont aussi salées que cette mare d'eau qui m'empêche d'être aujourd'hui avec les autres qui t'aimaient.

En ce moment, tous ceux qui le pouvaient sont à Arcueil, autour de toi et de tes parents, ils les entourent et les réchauffent, sois-en sûr. Et nous qui sommes retenus ailleurs, sommes présents. Avec vous. Je pense à ces vacances avec toi à Marseille, ton goût absolu de l'eau et du soleil quand l'après-midi prend fin. Je t'envoie encore un bout de plage. Chabalab, chabalab....

"I saw him once, yes, and he stayed in my mind as the "magician" who managed to remove the black stripes from the image in the interface that were made with my webcam. I remember that I called him magician and that we were laughing about that."

Voilà, Ivan, j'ai trouvé le plus beau et majestueux arbre pour me consoler, et figure-toi qu'il te ressemble beaucoup. Il portera désormais ton nom... Allez, à tout de suite mon ami!

J'ai rencontré Ivan au CICV en 1996, un homme impressionnant, il fait partie des acteurs de cette époque du net qui on marqué cette histoire française de l'art en ligne. Je l'ai revu plus tard avec toujours autant de plaisir. Toutes mes pensées vont vers ses parents .

Un grand bonhomme qui toujours égal à lui-même. D'une simplicité dans sa vie et doué d'un énorme talent créatif. Toujours prêt à rendre service et à se jeter dans de multiples projets corps et âme. Longues soirées passées à refaire le monde ou tout simplement l'accepter comme il est. C'est aussi cela le paradoxe "Ivan". Un coeur gros comme ça et une âme sans faille. Un respect de l'autre et un don de soi inépuisable.
Puisses-tu nous montrer encore le chemin de la haut! A toi mon grand Ami, Ivan CHABANAUD !

Je ne sais toujours pas quoi dire. Suivre l'exemple de KRN, méditer, te donner une place dans mon jardin. Bye bye Ivan.

GRRRRRRRR... Déposer ma colère... Me ressourcer... T'accueillir à bras ouverts, toi et tous les tiens, ici et là...
Méditation auprès d'un bel arbre fera bien l'affaire... ;)

Très touchés de la disparition de cet homme sympathique et touchant.

god@cluster:~# su Ivan
ivan@cluster:/home/ivan$ rm -Rf ./*

《Une tache sur ma nuit》
Celui qui monte parmi les comètes derrière le deuil et les aubes qui plient/qui se regarde, s'arrête et tend ses bras jusqu'à la paroi de cristal qui est peut-être la seule ligne courbe de l'au-delà. Celui-la/corps tête âme dans l'immensité/tout ce qui résiste encore/et traîne tard sur le soir. Les mots qu'on di du fond au fond/le silence confus qui monte/on entend les anges qui rient à travers les rayons. La brise sur le dos d'Orion/l'étoile qui dort la nuit. Tout est plus petit dès là-haut/les ombres où d'autres formes électriques se noient/les lumières du port et celles de la ville/le serpent majestueux autour du monde/là-haut l'homme seul plus grand. Jd

Te quiero, amigo! Hasta luego...
Julián
Je me permet de vous joindre ici une image et le lien de la merveille que Ivan à réalisé pour notre groupe El Último Grito -lors de la présentation du deuxième album EUG2 à l'Ermitage.
Tout y est... Voilà sa magie.
Je saisi l'occasion pour vous faire part, vous, chères chers amiEs Famille d'Ivan, de notre (les membres du groupe et moi-même) sentir profond et nos condoléances y pésame.
"Versos de sangre" / cante por granaínas / EUG2
https://youtu.be/cuiuv06y92g

Cette photo, découverte en ligne ce soir, quel magnifique regard.

avconv -f pulse -i default -i rtsp://192.168.10.15/live.sdp -threads auto -pix_fmt yuv420p -c:v libx264 -preset medium -tune zerolatency -s 4cif -vb 512k -bufsize 512k -acodec aac -ar 44100 -ab 256k -cutoff 15000 -ac 2 -strict -2 -f flv rtmp://192.168.10.14:1935/livelow/angelus-live-a

Avec toi, j'ai beaucoup appris et bien rigolé aussi. Je me souviens de cette nuit entière sur un streaming de ta composition avec un réseau capricieux, tu étais devant tes écrans, et tu t'étais endormi. Une bonne heure, profondément. Tout fonctionnait à merveille, je ne t'ai pas réveillé et suis resté à tes côtés. D'un coup, tu as fait surface, en me disant : "ah tu es là ! Tout va bien, je ne dormais que d'un oeil". Tu me manqueras, tu nous manqueras, toi, tes idées, ton savoir, ta bonne humeur et ta générosité. Salut ivan!

Un ami d'Ivan a très joliment écrit: "Qu'il décroche la lune pour qu'elle retrouve son sourire..."
Joli, n'est-ce pas?

Good bye, Ivan! with ActiveLayers: James Cunningham, Liz Bryce, Cherry
Truluck Halpin & Suzon Fuks - May 2010

salut à toi dans l'au delà
Tu emportes le code du projet homni que l'on avait réalisé ensemble ces derniers mois. Il restera ainsi, en hommage à toi: je n'y toucherai plus. A quoi bon. Dans le monde virtuel dans lequel tu circules à présent, prépare toi à recevoir nos tentatives de communications car nous savons bien que la frontière est mince.
à très vite.

Je l’ai rencontré en mars 1998. Il sortait des Terres Blanches où il venait de présenter Icare et moi de ma petite vie normale d’étudiant en informatique. Je me rappelle de sa présentation de l’indy, un ordinateur turquoise tout aussi magnifique qu’intouchable et de son fameux système d’exploitation unix. Je n’ai rien compris mais j’étais certain d’une chose : c’est que tout cela semblait vivant et très excitant.

Ensuite, j’ai été le collègue d’Ivan. Et oui, je fais parti de ses personnes qui ont eu le privilège de le connaître sous ce jour improbable : une parenthèse dans sa vie. C’est là que nous avons été le plus proche que nous avons appris à nous connaître. C’est aussi là que j’ai découvert toute sa sensibilité, tout l’amour qu’il avait pour son fils et l’attention qu’il portait à ses amis et ses parents. Eux aussi sont passés sous linux… Moi aussi.

Ivan, architecte réseau : c’était quelque chose ! Il n’était pas administrateur système car le flux, les données, le temps tout était de nature éphémère. Pourquoi faire des sauvegardes quand tout ce que l’on fait est de nature à disparaître.

Un personnage intègre, un artiste sans compromis faisant avancer l’Art. Un parcours pluridisciplinaire passant de la restauration de meubles laqués sur coquille d’œuf, à la sculpture et la peinture pour s’envoler avec la modélisation 3D, l’intelligence artificielle, le streaming et la performance en réseau. Je suis fier de t’avoir connu et te compter parmi mes amis.

Que de moments singuliers en sa présence au château Peugeot. Je le vois tout à coup se jeter sur Pavel je crois pour l’embrasser sur la bouche. Non pas une déclaration d’amour mais une réaction explosive comme il savait si bien le faire. Je me vois en sa compagnie me demander ce qu’il se passait lors d’un repas avec des chercheurs de l’Inria où il les agressait presque de ne pas avoir assez d’application réelle dans leurs travaux. Je nous vois nous engueuler franchement sur des convictions profondes ou de simples broutilles. Je nous vois manger dans un bistro parisien une succulente souris d’agneau avec une très bonne bouteille de bordeaux. Je me rappelle encore de ses moments passés dans un petit resto d’Hérimoncourt à finir le repas avec ce petit verre de framboise qu’il appréciait tant.

C’était tout cela Ivan !

Ah mon Ivan, je suis triste de ne plus te savoir parmi nous. Aujourd’hui que tu n’es plus là, je me rends compte que l’on ne s’est pas vu depuis bien des années et pourtant tu ne m’as jamais quitté. J’ai pensé et je pense à toi… Tu n’as laissé personne indifférent sur ton passage et saches que tu resteras en moi jusqu’au dernier instant.

Merci pour ton amitié.

Tu vas tellement me manquer...

Une pensée pour ce gars qui ma tellement fait halluciné et qui restera une de mes références . Saleté De crabe . Bonne route à toi . Une vodka à ta santé en souvenir du Maroc .

cela me fait encore rire. en 2011, pourtant. quand nous avons découvert sur facebook une photo de toi dans une chambre d'hopital, jambe dans le platre, alors que nous t'attendions a aix sur le centenaire mcluhan afin de nous ouvrir une chambre virtuelle. voilà un indice de la tendresse pour ce grand ivan. adios amigo

C'est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris le décès d'Ivan Chabanaud qui a tant œuvré pour la mise en réseau des acteurs de la création numérique. Nous nous associons à la douleur de ses proches.

Biennale de Dak'art, mai 2010, tu accompagnais la compagnie Mulleras et Philippe Baudelot... Quelle rencontre inoubliable, ta chaleur, tes rires, tes conseils si précieux et avisés, ta vision, que d'échanges, de partages, ta générosité... Tes amis de Dakar te gardent en leurs cœurs.
Nos rencontres par la suite ont toujours été si joyeuses et vivantes et j'en ressortais toujours un peu plus savante ;)
Que ta lumière reste avec nous.
Bon vent à toi l'ami, et merci pour tout du fond du cœur !

Repose en paix cher Ivan . Les pensées de toutes celles et ceux dont tu as croisé le chemin et qui gardent comme moi un excellent souvenir de toi, de ton extrême générosité, de ta gentillesse et de cet amour que tu portais à ton travail t'accompagnent en ce dernier voyage.

juste ce souvenir d'une belle et grande rencontre. Rare.Généreuse.
Désert Numérique. A bientôt.

Ivan was a streaming activist and a pioneer who influenced many of us and in particular our collectives shinkansen and body>data>space in the UK with his visionnary experimentations. Ivan's thoughts patterns led to future scenarios which truly pushed boundaries, helping us All vision forward.

Ivan était un activiste et un pionner du streaming, dont les experiences visionnaires ont influencé tant d'entre nous, en particulier nos collectifs shinkansen et body>data>space au Royaume Uni. Les modèles de réflexion d'Ivan ont menés à de futurs scénarios qui ont repoussés les frontieres de l'art numerique et nous ont aidé a penser plus loin.

Bon vent Ivan

http://www.makery.info/2015/09/09/en-memoire-de-ivan-chabanaud/
Par Ewen C.

Adieu l'ami. Tu étais un sacré bonhomme. Ce fut un bonheur de te connaître et de travailler avec toi ! Mais ce n'était pas travailler, c'était faire, aimer, créer, manger, boire, rire !

On s'est d'abord chamaillés pour des peccadilles bas-niveau, puis on s'est apprivoisés sur les hauteurs enivrées de mon-trou-chéri, où s'est dessinée la voie lactée qu'il fallait dès lors parcourir avec bonhomie. Tous ces moments illuminés, déglingués, hilares, incongrus, tendres, toujours généreux et édifiants, composent un chapelet spinal que j'égrène très souvent, quand tout va mal, quand tout va bien. Puissent ton départ et ton souvenir nous inspirer des ailes qu'aucun soleil ne saura disloquer.

J'ai croisé la première fois Yvan Chabanaud à Terres Blanches à Hérimoncourt dans les années 90. Il y proposait un projet 3D en ligne, innovant et participatif. Nous nous sommes croisés ensuite bien des fois lors d’évènements artistiques liés à la création numérique. et à chacune de ces rencontres l'enthousiasme d'un artiste ingénieur et ingénieux, porteurs de projets de recherche et création toujours très intéressants. merci Yvan Chabanaud d'avoir si brillamment contribuer au développement des arts numériques en France et ailleurs.

trop vite, trop tôt, ta générosité faisait que d'une belle utopie, tu ouvrait des possibles, tu nous manquera....

Je penserai toujours à toi, ton plaisir des bonnes choses, ton humour, ta générosité, ton énergie et tous ces beaux moments passés ensemble. Une très belle âme.

Un souvenir avec Yvan et Paul. Ils regardent le Mucem hors-champ qui venait tout juste d'ouvrir ce 7 juin 2013.
Yvan, tu vas nous manquer...

Ivan arrête de jouer avec le monde virtuel, on a pas envie de se passer de toi.
(et c'est qui qui va me montrer des films roumains à 5h du matin à la salle des fêtes ??)

Merci Ivan pour tout ce que tu as su me transmettre, du Cicv à maintenant. On a eu des galères, de bonnes parties de rire. Je repense aux différents festivals qui nous ont réunis, mais quel pied ! On s'est bien marrer ! Tu vas manquer, tu nous vas manquer...

Avec Quentin et Rougeot (le poisson rouge) à Prague

Je ne sais pas quoi dire... je suis si triste.

Très beaux souvenirs de partage d'ateliers avec Ivan en 2007_2008. Beaucoup d'aide et de générosité de sa part.

Un souvenir avec toi à Dakar en mai 2012...

Tu me manqueras

On t'aime, Ivan!